« FOODprints » : différence entre les versions
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* Je bois de l’eau du robinet | * Je bois de l’eau du robinet | ||
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Un peu d'histoire. Dès la création de la coopérative du Supermarché Participatif Paysan, une des équipes de travail s'est penché sur la notion de solidarité et la possibilité d'intégrer tous les ménages dans le projet. Très vite, s’est posé la question de comment intégrer de la solidarité dans un projet qui met en place un magasin – régit, par la force des choses, par la logique marchande. Est-il possible, au moins, de l’atténuer ? C’est à partir de là qu’a débuté le cheminement de l’équipe carte alimentaire (cf. [[cartographie]]). Le but était – et est toujours – de pouvoir mettre en place un système de carte alimentaire, qui permettrait de payer un prix variable pour les produits, selon les revenus des uns et des autres. Ceux qui gagnent plus payent et s’engagent solidairement pour ceux qui gagnent moins. Si l’idée est simple, la mise en place relève quelques défis et demandera encore un moment avant concrétisation. | Un peu d'histoire. Dès la création de la coopérative du Supermarché Participatif Paysan, une des équipes de travail s'est penché sur la notion de solidarité et la possibilité d'intégrer tous les ménages dans le projet. Très vite, s’est posé la question de comment intégrer de la solidarité dans un projet qui met en place un magasin – régit, par la force des choses, par la logique marchande. Est-il possible, au moins, de l’atténuer ? C’est à partir de là qu’a débuté le cheminement de l’équipe carte alimentaire (cf. [[cartographie]]). Le but était – et est toujours – de pouvoir mettre en place un système de carte alimentaire, qui permettrait de payer un prix variable pour les produits, selon les revenus des uns et des autres. Ceux qui gagnent plus payent et s’engagent solidairement pour ceux qui gagnent moins. Si l’idée est simple, la mise en place relève quelques défis et demandera encore un moment avant concrétisation. | ||
Une première étape de l’exercice a été de faire une sélection de produits pour lesquels ce système pourrait entrer en compte, ce qui s'est fait en suivant la démarche '''FOODprints'''. Les nouvelles icônes présentes sur les étiquettes depuis l'automne 2021 indiqueront donc les produits qui entrent dans la catégorie FoodPrints.<blockquote>«Nous pouvons changer le monde avec notre fourchette. Trois fois par jour, nous avons la possibilité de voter.» (Michael Pollan)</blockquote> | Une première étape de l’exercice a été de faire une sélection de produits pour lesquels ce système pourrait entrer en compte, ce qui s'est fait en suivant la démarche '''FOODprints'''. Les nouvelles icônes présentes sur les étiquettes depuis l'automne 2021 indiqueront donc les produits qui entrent dans la catégorie FoodPrints.<blockquote>«Nous pouvons changer le monde avec notre fourchette. Trois fois par jour, nous avons la possibilité de voter.» (Michael Pollan)</blockquote> |
Version du 19 octobre 2021 à 09:45
Les décisions que nous prenons en faisant nos courses ont une influence sur la situation de l’environnement, des hommes et des animaux. En faisant des choix alimentaires durables, nous apportons une contribution positive. Adopter une alimentation durable, c’est opter pour des denrées alimentaires saines, respectueuses de l’environnement et des ressources, et qui ont été produites dans des conditions équitables et le respect des animaux.
Le mode d’alimentation FOODprints proposé par la Société Suisse de Nutrition et la Fédération Romande de Consommation a été repris par La Fève et le projet alimentaire du quartier des Vergers. La démarche FOODprints diminue l’empreinte écologique de l’alimentation d'env. 50%. Son coût en BIO proposé par La Fève est légèrement moins cher que le coût moyen Suisse pour une alimentation non-BIO, selon les calculs de la Société Suisse de Nutrition (cf. dossier de la SSN).
6 astuces pour manger et boire de manière durable selon la démarche FOODprints
- Je fais mes courses à pied ou à vélo
- J‘achète juste ce dont j‘ai besoin
- Je consomme surtout des aliments végétaux
- Je fais attention à la provenance des aliments
- Je me soucie des conditions de production des aliments
- Je bois de l’eau du robinet
Pourquoi des FOODprints à La Fève ?
Un peu d'histoire. Dès la création de la coopérative du Supermarché Participatif Paysan, une des équipes de travail s'est penché sur la notion de solidarité et la possibilité d'intégrer tous les ménages dans le projet. Très vite, s’est posé la question de comment intégrer de la solidarité dans un projet qui met en place un magasin – régit, par la force des choses, par la logique marchande. Est-il possible, au moins, de l’atténuer ? C’est à partir de là qu’a débuté le cheminement de l’équipe carte alimentaire (cf. cartographie). Le but était – et est toujours – de pouvoir mettre en place un système de carte alimentaire, qui permettrait de payer un prix variable pour les produits, selon les revenus des uns et des autres. Ceux qui gagnent plus payent et s’engagent solidairement pour ceux qui gagnent moins. Si l’idée est simple, la mise en place relève quelques défis et demandera encore un moment avant concrétisation.
Une première étape de l’exercice a été de faire une sélection de produits pour lesquels ce système pourrait entrer en compte, ce qui s'est fait en suivant la démarche FOODprints. Les nouvelles icônes présentes sur les étiquettes depuis l'automne 2021 indiqueront donc les produits qui entrent dans la catégorie FoodPrints.
«Nous pouvons changer le monde avec notre fourchette. Trois fois par jour, nous avons la possibilité de voter.» (Michael Pollan)